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7 MARS 2018 — Le Tribunal administratif fédéral donne raison à une jeune polyhandicapée genevoise au terme d'un long combat judiciaire. Elle aura droit à des prestations, alors que le domicile habituel de sa famille se trouve en France.
L'histoire de Laetitia, relatée dans les médias, avait ému les Genevois. Cette jeune femme lourdement handicapée a atteint sa majorité il y a deux ans. Et depuis, elle s'est vue refuser une rente d'invalidité au motif que la famille a quitté Genève en 2011 pour s'établir en France voisine, dans une maison plus adaptée.
Pétition et manifestation
Très combative, sa mère avait lancé une pétition qui a récolté plus de 2200 signatures. Elle avait aussi manifesté avec sa fille devant le Parlement genevois pour faire connaître cette situation.
Mais l'imbroglio juridique pour les prestations d'invalidité avait débuté il y a six ans déjà et tournait autour de la question du domicile effectif de la jeune fille. Plusieurs décisions de justice avaient rejeté les demandes de la famille, considérant qu'elle résidait à l'étranger.
Suite à ces décisions négatives, il a fallu toute la détermination de l'association Inclusion Handicap pour poursuivre le combat et le porter jusqu'au Tribunal administratif fédéral (TAF).
Un arrêt qui ouvre la voie à d'autres familles
Et la haute cour donne ainsi raison à la jeune fille et à l'association qui la défend. Elle reconnaît que le domicile habituel de Laetitia n'est pas la maison de ses parents, mais un foyer genevois où elle passe la plus grande partie de son temps depuis 2016, et qui est par conséquent son vrai centre de vie.
Cet arrêt ouvre la voie au versement de prestations - pour Laetitia, mais aussi pour d'autres familles suisses dans le même cas de figure.
Inclusion Handicap salue la décision, qui met fin à une discrimination. En clair, un jeune adulte handicapé ne peut pas être privé de l'AI s'il réside durablement dans une institution suisse, même si ses parents vivent à l'étranger.
Cet arrêt est en revanche un désaveu pour l'Office fédéral des assurances sociales (OFAS). L'administration considérait qu'une personne adulte incapable d'exprimer sa volonté conservait le domicile où elle avait vécu comme mineure, donc la maison de ses parents.
Mathieu Cupelin/oang
RTS INFO.
Le 7 mars 2018. |
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Pour Laetitia rejoignez la, soutenez la !!
Voici son histoire !!
Une chanson composé pour soutenir l'association
et Laetitia ♥ son combat !!
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le_paradis_blanc_michel_berger
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J'aimerais simplement te dire que depuis que tu fais partie de ma vie, elle est remplie de joie. Tu m'apporte tant de bonheur...Merciiiiii....Tout au long de ta vie tu peux compter sur moi mon coeur, jusqu'à la fin de mes jours je te promet de veiller sur toi. Je t'AIME !!!
Ta maman....
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Je vous parle d'un monde qui n'existe pas Un monde où les frontières ne diviseraient pas La moindre différence comme ultime richesse Sans barrière, sans bannière, inutiles forteresses !!! |
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Que pensez-vous de ce site internet ?
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Mes ami(e)s partis trop tôt ... |
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A mes ami(e)s et leurs familles: Nadia, Ron, Matthieu, Dayan, Dylara....
"C'est une bien triste nouvelle que je viens d'apprendre....
Quand une vie s’en va, un grand vide se creuse derrière elle, les mots sont inutiles dans ces moments là, seule l'amitié et
l'amour des tiens comptent.
Par delà le chagrin, il ne vous faudra retenir que les moments heureux passés ensemble, de ses sourires & sa joie de vivre.
A travers ces quelques lignes, puissiez-vous trouver le réconfort et le soutien qui vous permettront de surmonter votre chagrin.
Laetitia & moi même garderons toujours à l'esprit l'image d'une jeune personne courageuse, combattante, souriante et joyeuse.
Acceptez chers parents, ce petit mot comme gage de notre affection et de notre soutien dans ces moments difficiles.
Affectueusement...
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Quand on sait que l’on a raison, il faut aller jusqu’au bout! |
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Domenica s'est battue pendant des années pour les droits de sa fille Laetitia, polyhandicapée.
"Quand on sait que l’on a raison, il faut aller jusqu’au bout! ", lance Domenica, la maman de Laetitia.
«Maintenant, je me dis que je peux tout
surmonter»
Sur les ondes de la Ligne de Cœur (RTS- La Première), elle témoignait de son combat pour sa fille Laetitia, privée de
rente invalidité. Peu auparavant, au printemps 2017, elle mobilisait le public et la presse régionale lors d’une manifestation
devant le Grand Conseil genevois. Pour défendre les droits de sa fille, Domenica Aveni Ponthet a déplacé le Salève.
Texte: Lise Tran – Photos: Antoine Tardy
Domenica Aveni Ponthet n’est pas une femme comme les autres: gare
à celui qui osera se mettre au travers du chemin de la démonstrative et
combattive quadragénaire. Ce n’est d’ailleurs certainement pas l’Office
de l’assurance invalidité de Genève qui le contredira, puisque la mère
de Laetitia, jeune adulte polyhandicapée, ainsi que sa famille, a finalement
obtenu gain de cause contre celui-ci. Un feuilleton à la David
contre Goliath, aux épisodes s’étendant sur six années et prenant tour
à tour les habits de la manifestation (devant le Grand Conseil genevois),
de la pétition ou encore du recours auprès des tribunaux fédéral et de
protection de l’adulte et de l’enfant. Une lutte à but unique: que Laetitia
puisse continuer à toucher ses prestation de l’assurance invalidité
(AI) et résider dans un foyer en Suisse. Rappel des faits: en 2011, l’office
AI en avait suspendu le versement car il estimait que le domicile de
Laetitia, même à sa majorité, était celui de ses parents. Mais ne trouvant
pas de logement adapté à prix raisonnable dans le canton de Genève
pour accueillir leur fille les week-ends, ils s’étaient installés en France voisine. Renoncer par la suite à leur curatelle, aurait dû permettre à
Laetitia de bénéficier à nouveau des prestations. Mais l’OFAS en décidait
autrement: une personne en incapacité de discernement devait
conserver à vie le lieu de résidence de ses parents.
Une sensibilité à l’injustice développée
Près d’une demie année après avoir finalement obtenu gain de cause
dans cet imbroglio juridique – une décision qui fait d’ailleurs jurisprudence*
- Domenica Aveni Ponthet vient à notre rencontre sur la terrasse
du restaurant de Clair Bois-Pinchat, à quelques pas du Vieux
Carouge. «A quel autre endroit aurions-nous pu nous retrouver? C’est
le lieu qui incarne le plus mon combat. C’est là où vit Laetitia», nous
lance-t-elle, rayonnante dans sa robe blanche estivale. La détermination
de la volubile genevoise d’origine sicilienne, on la perçoit tout de
suite au ton de sa voix. On l’imagine aussi facilement donner beaucoup
d’elle-même. Une impression confirmée au fil de notre discussion.
La quadragénaire a grandi dans la région genevoise. Sensible à l’injustice,
elle se rebelle, ado, contre ses parents: «J’avais envie de vivre ma vie.
Alors que toutes mes copines sortaient, moi je devais travailler pour
mes parents à l’épicerie. Et mes frères, eux, ne faisaient rien…»
Plus tard naît chez la jeune femme l’envie de fonder une famille. Elle rêve
alors d’avoir une fille, qu’elle appellerait Loredana. Ce sera bien une fille,
mais qui répondra au nom de Laetitia: «Enceinte, j’étais aux anges. Je
l’imaginais déjà marcher dans les petites robes que j’avais achetées, je me
demandais de quelle couleur seraient ses yeux, si ses cheveux seraient
frisés…» Et puis, six mois après la naissance, l’annonce du handicap: «A
chaque robe que vous regardez dans l’armoire, vous vous dites alors: jamais je ne la verrai marcher dedans.» Près de 20 ans se sont écoulés depuis,
mais l’évocation de ces souvenirs semble rouvrir une faille chez
Domenica Aveni Ponthet, qui a eu par la suite deux autres enfants.
«Je prends le Salève là et je le mets à la place du Jura!»
Le combat de l’employée de fiduciaire, il commence bien avant celui,
médiatisé, pour que sa fille puisse continuer à percevoir les prestations
AI. Six mois après la naissance de Laetitia pour être précis, au moment
où le couple tape finalement du poing sur la table pour obtenir
des examens plus approfondis et un diagnostic: «Avant cela, on nous
renvoyait à la maison en nous disant que tout allait bien. Pourtant,
Laetitia n’arrêtait pas de pleurer. A tel point que j’avais peur que les
voisins appellent la police!» Une fois le diagnostic établi, les parents
se sentent «lâchés dans la nature» et ne bénéficient que de très peu de
conseils et d’informations. S’ensuit une lutte quotidienne pour savoir
ce à quoi Laetitia a droit. A mesure que Laetitia grandit, les complications
de santé évoluent. Elle ne peut par exemple plus manger et
fait une pneumonie sévère: «Après une période de déni, j’ai petit à
petit accepté. Maintenant, je me dis que je peux tout surmonter, à
part la mort d’un de mes enfants. Je prends le Salève là et je le mets
à la place du Jura!»
Un seul choix: affronter
Laisser tomber et vivre avec des regrets ou se battre? Pour la mère de
Laetitia et son mari, la question ne s’est pas posée longtemps: «Comment
l’Etat pouvait-il s’en prendre à un enfant? Alors que c’est nous
qui avions décidé de vivre à l’étranger pour son bien-être. C’était trop
Laetitia vit désormais à Clair Bois-Pinchat (GE).
injuste! Il fallait y aller.» Durant les six années de résistance, le couple
passe par différentes phases, alternant rires et colères. Désormais fiers
que leurs parents soient allés «jusqu’au bout», les deux garçons du couple
ne sont pourtant pas non plus épargnés, puisqu’à la maison, on ne
parle que de «ça». Un combat rude au cours duquel Domenica Aveni
Ponthet laisse également quelques plumes, passant pour une menteuse
voire même parfois une profiteuse. «Pourquoi devions-nous toute
notre vie être liés de la sorte à notre enfant? Envisager de partir vivre
notre retraite à l’étranger était impossible. En plus, on nous faisait culpabiliser
de penser à nous!», s’indigne-t-elle.
Mais ces six années, c’est aussi l’occasion de se rendre compte que des
milliers de personnes – plus de 2’000 signataires pour la pétition - se
mobilisent pour dénoncer cette injustice. La pratique régulière de la
marche à pied permet quant à elle à la mère de famille de «me vider
l’esprit et de me remplir de positivité». Pendant six ans, elle tient bon.
Ce n’est qu’après l’annonce de la victoire que son moral chute: «Je me
disais: oui, on a gagné. Mais c’était quand même facile pour l’AI, alors
que pour moi, ce n’est pas évident de tourner la page.» Désormais, Domenica
Aveni Ponthet a décidé qu’elle allait commencer à vivre pour
elle, même si elle attend encore de l’AI qu’elle détermine le montant
rétroactif des prestations AI de sa fille. Et, petit à petit, elle dit essayer
«couper le cordon» avec cette dernière, dont elle a décoré et repeint la
chambre en rose fuchsia. Mais la quadragénaire n’est de loin pas encore
à la retraite: un autre combat a déjà pris forme dans son esprit. •
* Un jeune adulte en situation de handicap résidant durablement
dans une institution suisse ne peut être privé des
prestations AI, quand bien même le domicile des parents
est à l’étranger, a tranché en mars le Tribunal administratif
fédéral. Qu’une personne avec un handicap doive conserver
toute sa vie son domicile de personne mineure est une
discrimination contraire à Convention de l’ONU sur les
droits des personnes handicapées (CDPH), a estimé pour
sa part Inclusion Handicap, qui a défendu les droits de la
jeune femme. |
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Il y a des jours ! Il y a des jours comme ça, où plus rien ne va, on attend plus rien de la vie. On voudrait qu'elle nous sourit et là, seul les larmes viennent, Pourquoi tant de tristesse; pourquoi tant de faiblesse, Qui sommes nous pour payer ce lourd tribu, Qu'avons nous fait de mal, Nous n'avons que notre âme pour seul arme. Utilisons notre plume pour soulager nos coeurs; Unissons notre flamme pour gagner se combat .
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Aujourd’hui après 6 ans de combat juridique acharné interminable contre une loi absurde qui prive Laetitia de vivre à Genève, de sa rente invalidité et de ses droits, juste par ce que nous les parents avons une résidence secondaire l’association revient pas seulement pour promouvoir et favoriser la qualité de vie du parent, proche, ou entourage vivant avec une personne handicapée physique et/ou mentale dans le canton de Genève mais pour créer une plate forme d'échange sur cette absurdité, faire changer les lois et les mentalités politiques pour les droits des personnes en situation de handicap.
Inciter ainsi les pouvoirs publics à reconnaître les besoins des personnes handicapées physiques et/ou mentales et leurs familles avec des logements adaptés.
D'avance nous vous remercions pour votre soutien !
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Bonjour...
"Quelque soit ton chemin....si tu as croisé le mien ce n'est pas un hasard
c'est le destin.
La vie est ainsi faite, nos chemins se croisent cela devait se faire.
Toi mon ami d'internet, ami de coeur et adhérant de l'association que je ne connais pas encore personnellement tu me donne tant de joie ♥♥♥♥
Si par mes écrits au quotidien sur ma page facebook
je peux embellir ta vie ...alors j'en suis ravie !!! "
Avec l'aide de sa marraine, de nos amies proches et la famille nous avons créer cette association pour le confort, un sourire, un bien-être et la continuité dans la joie de vivre au quotidien dans cette vie...pour qu'elle leur soit plus douce.
L’intérêt de ce site est de vous présenter Laetitia. Une jeune fille incroyable....une force de la nature !!!
"Laetitia" jeune fille pétillante, charmante, souriante qui aime la vie même si celle-ci ne lui a pas fait de cadeau.
Elle a la joie de vivre, pétillante, elle est belle, généreuse, toujours avec son le sourire, la force est pourtant la vie n'a pas été tendre avec elle...
Merci pour vos attentions, vos messages au quotidien....
Merci pour Laetitia et pour les autres enfants comme elle.
<<Ho, douce Petite Princesse LAETITIA....
Continu d'ensoleiller nos coeurs, nos vies;
tu es nôtre soleil, nôtre oxygène.
Prend la vie comme elle vient et continue à te battre,
continue à nous sourire car tu es notre joie de vivre à tous, nous t'aimons ..>>
♥♥♥♥
Bonne Visite ....
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Notre histoire
Année 2010 : L’engagement
Etant la maman d'une jeune fille polyhandicapée de naissance, étant passée par un manque d'informations à l’annonce du handicap en 1999, avoir été seule face au handicap, sans informations ni connaissances et avancer vers un avenir inconnu et incertain son papa, moi et quelques amies avons voulu créer cette association pour aider moralement les familles.
Leurs venir en aide, dès l'annonce du handicap, les aiguiller vers les institutions adéquat, échanger informations, connaissances et vécu pour qu'ils ne se sentent pas seuls, démunis face à cette situation...
Il y a encore trop de parents seuls face au handicap, à la vie quotidienne
sans personne avec qui pouvoir échanger.
Le fait de savoir que l'on n'est pas seul avec son malheur est déjà psychologiquement positif.
A cela s'ajoutent les expériences d'autres parents qui peuvent donner du courage.
Voilà l'importance de notre démarche.
Notre souhait leurs venir en aide dès l'annonce du handicap, les aiguiller vers les institutions adéquates et les diverses associations existantes travaillant dans le domaine du handicap. Sensibiliser les pouvoirs publics aux besoins des enfants polyhandicapés et handicapés mentaux et de leurs familles. Echanger des informations, nos connaissances et notre vécu pour qu'ils ne se sentent pas seuls, démunis face à cette situation... mais pleins d’espoir.
Nos valeurs :
But : Promouvoir et de favoriser la qualité de vie de l'enfant ainsi que des parents d’enfants handicapés nécessitant une aide et un soutien à la réalisation d’un projet.
Inciter les pouvoirs publics à reconnaître les besoins des personnes handicapées physiques et mentales et leurs familles.
Faire évoluer le regard de la société sur les personnes handicapées, favoriser leur intégration, combattre les idées reçues.
Notre souhait :
Soutenir les familles souvent confrontées à l'isolement, sans personne avec qui pouvoir échanger en organisons des réunions de parents.
Sensibiliser les instances publiques, tout comme le grand public, à la cause du handicap.
Notre Espoir :
Nous croyons à la place et au bonheur des personnes handicapées dans notre société. Le fait de savoir que l’on n’est pas seul avec son malheur est déjà psychologiquement positif. A cela s’ajoutent les expériences d’autres parents qui peuvent donner du courage.
Nous parents de Laetitia nous nous réjouissons de pouvoir apporter notre aide et connaissance, à de nombreux parents qui en auront certainement bien besoin, et qui pourront en bénéficier grâce à votre participation dans la diffusion de cette information.
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...La vie est combat continuel Qui n'a pour but que le bonheur d'un être. Mais si ce combat s'avère hardi et rempli de souffrances Alors les ténèbres incombent l'Homme Mais l'Homme dans son intelligence Se relève de ses blessures Rempli de courage, pus fort et enveloppé de sagesse. L'Homme va de l'avant sans se soucier Du malheur qui pourrait le traverser. Aveuglé par l'amour Son cœur enflammé d'un doux brasier Perdu dans ce vaste univers Fourvoyé dans ce monde perverti et innommable Il prolonge son châtiment Plongé dans l'obscurité et l'abîme Sentir la tardive agonie de son âme !! Oppressé par l'opacité de la perversion de ce cosmos Infini et insolent par sa grandeur, L'Homme finit par trépasser Sans se plaindre et sans regret.
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Laetitia... Quoi de plus troublant que ton regard & tes sourires mon enfant un regard qui semble s'interroger sur un monde étranger !!! Tu verras, elle est belle la vie pleine de joies et d'envies... Même si parfois nous traversons des coups durs Même si dans le quotidien nous devons prendre de lourdes décisions je serais toujours là pour te protéger...te comprendre et te guider. Tu es ma fille, ma princesse. Mon coeur déborde de tendresse & d'amour depuis que je t'ai donné la vie je suis heureuse jours et nuits tu es ma raison d'exister pour toujours et à jamais. Je t'aimeeeeeeeee tu es mon ange |
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<Celui à qui la souffrance est épargnée doit se sentir appelé à soulager celle des autres...>
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